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Libelle sur l’affaire Torrey
Libelle sur l’affaire Torrey
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Libelle de 8 pages sous la forme d’un poème dramatique et lyrique, avec des vers en octosyllabes et des rimes croisées (dont un post-scriptum, une chanson de 15 couplets sur Torrey et une chanson de 16 couplets sur Cantianille). Œuvre racontant l’histoire vraie de Torrey et Cantianille, un abbé et une « possédée » chassés d’Auxerre par l’évêque de Sens qui s’installent à Rome pour avoir la protection du pape, puis finissent à Saint-Jean-de-Maurienne sous la protection des chanoines de la cathédrale, Portaz et Albrieux. L’œuvre s’inspire d’une histoire réelle. Le libelle conté ici est en effet inspiré d’une histoire d’exorcisme et de possession ayant pris place en 1867 à Saint-Jean-de-Maurienne. Cantianille Nicout-Bourdois, une prophétesse visionnaire originaire d’Auxerre (ville d’ailleurs mentionnée dans le document), est exorcisée par l’abbé Jean-Charles Thorey, qui est devenu son plus ardent disciple et avec lequel il entretient des relations intimes. Cantianille et Thorey, qui se font appeler « sœur et frère de Jésus », prophétisent notamment que Saint-Jean-de-Maurienne, chef-lieu du diocèse, deviendrait une nouvelle Rome, ce qui explique la mention de ces deux villes respectives dans le document. Les noms mentionnés dans le texte, Portaz et Albrieux, sont des noms de familles locaux de Maurienne. L’auteur critique avec une forte violence la corruption de l’abbé Thorey et Cantianille, présence importante d’insultes et de jugements à leur égard. Critique très virulente de l’affaire en général, et certain patriotisme savoyard et mauriennais. -
Testament de Jean-Jacques Rousseau
Testament de Jean-Jacques Rousseau
Contient :
- Testament de Jean-Jacques Rousseau, 7 juin 1737.
- Procuration passée par Jean-Antoine Millet, comte de Challes, à Alexis de Pontverre, 12 juin 1737.
- Quittance passée par Louis Bertin à Jean-Jacques Bertin son frère, 7 juillet 1737.
- Quittance pour les Religieuses annonciades, de Chambéry, à Jean Cuchet, des Echelles, 8 juillet 1737. - Mariage entre honorable Jean, fils de feu Claude Galliano, et honorable Philiberte Degrange, 10 juillet 1737.
- Procuration passée par Jean-Jacques Rousseau à Jacques Barillot, 12 juillet 1737.
- Affranchissement par Jean-François de Clermont, marquis de La Bastie, en faveur de noble Joseph Demotz, avocat général des pauvres au Sénat de Savoie, 21 juillet 1737.
- Cession passée par honorable Claudine, fille de feu Pierre Bertin, veuve de Claude Berger, à honorable Claude Galliano, 18 juillet 1737.
Dans ce premier testament de l'auteur, Rousseau règle ses dettes auprès de Mme de Warens : " il a fait, créé et institué, de sa propre bouche, nommé pour son héritière, ladite dame Françoise-Louise de la Tour, comtesse de Warens, la priant très humblement de vouloir accepter son hoirie, comme la seule marque qu’il lui peut donner, de la vive reconnaissance qu’il a de ses bontés, voulant que le présent soit son dernier testament, et que s’il ne peut valoir comme testament, qu’il vaille comme donation à cause de mort, et par tous autres moyens qu’il pourra mieux valoir [...] et par ces mêmes présentes, s’est établi et constitué ledit sieur Rousseau, lequel pour la décharge de sa conscience, déclare devoir à ladite dame Françoise-Louise de la Tour de Warens, absente, moi, dit notaire pour elle stipulant et acceptant, la somme de deux mille livres de Savoie, pour sa pension et entretien que ladite dame lui a fournis depuis dix années, laquelle somme ledit sieur Rousseau promet lui payer, si Dieu lui conserve vie, dans six mois prochains [...]
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