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Filtré par : Images Courtois, Philippe (18..-18..)
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Chateau de Miolans
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- Courtois, Philippe (18..-18..)
Chateau de Miolans
Le château de Miolans, forteresse très élaborée, occupe un site spectaculaire à Saint-Pierre-d'Albigny. Dominant la vallée de l'Isère, l’édifice est, jusqu’au début du XIXe, l'une des pièces maîtresses de la défense de la Combe de Savoie. Sa silhouette imposante est un motif récurrent dans de nombreuses lithographies. Philippe Courtois n’échappe pas à cette règle et utilise tous les moyens artistiques dont il dispose pour rendre le lieu encore plus saisissant. Ainsi, le choix d’un point de vue en contre-plongée accentue la perspective et rend le château fort encore plus impressionnant alors que la diligence au premier plan semble minuscule ! Cette présentation aura un certain succès, car elle sera reprise, à quelques détails près, par J. Werner dans l’ouvrage « La Savoie historique, pittoresque, statistique et biographique », édité en 1854 (voir la lithographie sur Camberi@ : https://bibliotheque-numerique.chambery.fr/idurl/1/26701). Amusez-vous à chercher les différences entre les deux lithographies !- Auteur
- Courtois, Philippe (18..-18..)
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Intérieur du château du Bourget, environs de Chambéry
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- Courtois, Philippe (18..-18..)
Intérieur du château du Bourget, environs de Chambéry
Il est difficile en voyant ces ruines d’imaginer que ce château était l’une des plus importantes demeures des comtes de Savoie. Thomas, frère d’Amédée IV, le fait construire à la fin du 13e siècle. Lorsque son fils succède à son oncle sous le nom d'Amédée V, cette résidence d'agrément devient le centre du pouvoir. Deux siècles plus tard, elle est délaissée à son tour au profit du château de Ripaille. Son état va alors se dégrader jusqu’à ce qu’elle soit finalement vendue en 1841 comme carrière de pierres. Son rachat en 1849 permettra de la sauver de la destruction.
Lorsque cette lithographie est imprimée, le lieu est déjà bien détérioré, mais le charme des ruines agit. L’œuvre est due à Philippe Courtois, dont on connaît mal la biographie, mais on sait qu’il est primé en 1833 par l’Académie de Savoie pour une autre vue du château du Bourget. Ici, l’angle de vue est différent. La nature est bien plus tourmentée et les ruines semblent plus dévastées ; le ciel orageux, l’arbre tortueux renvoient également à l’esprit romantique caractéristique du 19e siècle. Quant à la paysanne et ses vaches, ils apportent une note humaine et donnent la mesure du paysage.- Auteur
- Courtois, Philippe (18..-18..)
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L'Hopital
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- Courtois, Philippe (18..-18..)
L'Hopital
Tout est en mouvement dans cette lithographie ! Les personnages marchandent, discutent, se déplacent... au sein d’une foule assez dense au milieu de laquelle des chevaux se frayent un chemin… L'artiste Philippe Courtois (18..-18..) nous invite à constater que le petit bourg de l’Hôpital est un lieu animé aux activités intenses. En effet, la ville, située, au carrefour des vallées de l’Arly, de la Combe de Savoie et de la Tarentaise, est établie sur des axes majeurs de la circulation alpine. Au milieu du 19e siècle le bourg prend une réelle importance par rapport à sa voisine Conflans ; c’est alors que le gouvernement sarde décide de réunir les deux villes sous la dénomination d’Albertville (nommé ainsi en l’honneur du roi Charles-Albert) à partir de janvier 1836. La lithographie, dessinée par Philippe Courtois, fait partie d’une série de « Vues de Savoie » qui paraissent à partir de 1832, avant que le toponyme « Hôpital » ne disparaisse.- Auteur
- Courtois, Philippe (18..-18..)
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Ruines du château du Bourget
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- Courtois, Philippe (18..-18..)
Ruines du château du Bourget
Il est difficile, en voyant ces ruines, d’imaginer que ce château était l’une des plus importantes demeures des comtes de Savoie. Thomas, frère d’Amédée IV, le fait construire à la fin du 13e siècle. Lorsque son fils succède à son oncle sous le nom d'Amédée V, cette résidence d'agrément devient le centre du pouvoir. Deux siècles plus tard, elle est délaissée au profit du château de Ripaille. Son état va alors se dégrader jusqu’à ce qu’elle soit finalement vendue en 1841 comme carrière de pierres. Finalement, son rachat en 1849 par de nouveaux propriétaires permettra de la sauver de la destruction. Le lieu, déjà bien détérioré, conserve cependant le charme lié aux ruines et en fait un sujet de prédilection pour un artiste ! Philippe Courtois, dont on connaît mal la biographie, réalise d'abord une aquarelle qui est primée en 1833 par l’Académie de Savoie. La lithographie en est la copie.- Auteur
- Courtois, Philippe (18..-18..)
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Victor Emmanuel II
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- Courtois, Philippe (18..-18..)
Victor Emmanuel II
Prince de Piémont, duc de Savoie, roi de Sardaigne puis d'Italie, il est appelé Victor Emmanuel II de Savoie ou Victor Emmanuel II d'Italie. Il épouse sa cousine Marie Adélaïde de Habsbourg-Lorraine en 1842.- Auteur
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